jeudi 27 septembre 2018



Le Journal de Portes Citoyenne 
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EDITO

Il n’y a pas que les moustiques qui piquent !




Président des riches, Président de l’austérité et des inégalités, Président arrogant et méprisant, voilà ce qu’est Macron, ce que cache son sourire de sitcom aux dents blanches ! Nous, à Portes Citoyenne, nous n’aimons ni les privilèges qu’il protège, ni l’austérité pour les salariés, pour les budgets communaux et les services publics.
L’austérité est injuste : d’un côté des dividendes qui battent des records, de l’autre des familles qui ne peuvent plus remplir correctement le frigo chaque semaine, des salaires bloqués, des retraites attaquées, des APL qui baissent, des prestations sociales gelées, des contrats aidés supprimés, des étudiants malmenés par Parcoursup...
En supprimant de nombreux postes d’employés communaux, en privatisant le relevé des compteurs d’eau, Geneviève Girard s’accorde avec cette logique libérale qui porte gravement atteinte aux services publics de proximité.

Le mal est ancien ! A l’amorce de son premier mandat en 2001, n’avait-elle pas déclaré vouloir gérer la commune « comme une entreprise » ? Voilà pourquoi,  Madame le Maire n’a pas grand-chose à dire sur le niveau inégalé de réduction des dépenses publiques et sociales que Macron prétend réaliser avec l’appui du MEDEF.

Pire ! Souvenez-vous qu’au Conseil départemental, elle a voté des deux mains la suppression des   éducateurs de rue sur Portes-lès-Valence, une décision prise au nom de l’austérité et voulue par un autre Président… Patrick Labaune. Un soutien devenu bien embarrassant puisque ce dernier est accusé d’avoir détourné 226 000 euros au bénéfice d’ « emplois fictifs ».

Les élus de Portes Citoyenne et les Portois, sont désormais fondés à demander à Madame le Maire, combien d’éducateurs de rue au service de la jeunesse aurait-on pu financer avec cet argent volé !

       

Pierre TRAPIER

                         


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