vendredi 29 décembre 2017

mercredi 20 décembre 2017


L'Association Portes Citoyenne et ses élus vous souhaitent à toutes et à tous de bonnes fêtes de fin d'année.
Nous vous donnons rendez-vous le Samedi 27 /01 à 11 H, salle des Cigales, rue Maurice Thorez, pour notre assemblée générale 2018 à l'issue de laquelle nous partagerons le verre de l'amitié.

lundi 18 décembre 2017


On ne les oublie pas…

Il y a quelques semaines, le permis de construire d’un supermarché était affiché sur la façade de l’ancien magasin de meubles Atlas.
Madame le Maire se réjouissait déjà de faire des créations d’emplois sur la commune.
A Portes citoyenne cependant, on n’oublie pas la vingtaine de salariés d’Atlas qui occupaient ces locaux il y a encore peu… En fait, de source sûre, nous savons qu’il s’agira pour la plupart de créations d’emplois en trompe l’œil ou émanant du site de distribution        lui-même. On n’oublie pas non plus les personnes n’ayant pas de moyens de locomotion qui auront des difficultés pour s’y rendre.
Enfin, demandons-nous ce qu’en pensent les salariés du petit hypermarché du centre commercial, qui s’était refait une santé durant les derniers mois ?
                                                                                          Quentin MARLHENS

jeudi 7 décembre 2017


Le hold-up d’Emmanuel Macron contre les locataires

et le logement social


Voilà plusieurs semaines que les élus de Portes Citoyenne vous alertent par courrier sur les dangers de la Loi Logement. Pourquoi ? Cette loi est un véritable hold-up contre les classes moyennes et les familles les plus modestes.   
Ses conséquences seront très négatives pour l’emploi et l’économie. En effet, après s’être attaqué à l’APL, le gouvernement va contraindre les bailleurs sociaux à diminuer leur budget, ce qui aura des conséquences graves sur la construction de nouveaux logements, la rénovation du parc et l’entretien des logements.  Mme le Maire qui n’a jamais levé le ton contre la loi de l’argent-roi a beau crier « haro ! », mais chacun sait que seule la construction du « haut standing »  trouve grâce à ses yeux… Mais les faits, eux ne mentent pas. Il suffit de lire le budget 2018 : 50 000 logements risquent de ne pas sortir de terre et plus de 100 000 ne seront pas réhabilités. Froids et durs, les chiffres « officiels » parlent. Mais un autre s’y ajoute : 7 millions de personnes sont officiellement en « situation de réelle fragilité » en matière d’habitat. Macron, le président des riches, n’en a que faire…

Avec ce « grand bricolage », le budget du logement subira en 2018, une baisse de ses crédits de         9,8 %. Or, un secteur a toujours joué un rôle de cohésion sociale et d’égalité : le logement social.        12 millions de personnes en dépendent et échappent aux lois du marché.
N’avez-vous pas vous-même dans votre propre famille un membre de vos proches qui cherche à se loger à un prix abordable ?

Pierre Trapier, Myriam Comon, Jean- Michel Bochaton, Chantal Gamel- Bérard, Ali Chaabi, conseillers municipaux d’opposition, pour le groupe « Portes Citoyenne »


mercredi 6 décembre 2017


Les élus de Portes Citoyenne étaient aux côtés des salariés de Pasquier en grève


Le groupe des brioches Pasquier pensait que la pâte allait retomber.

Après s’être entendu dire par leur direction « qu’il n’y a pas que l’argent qui compte dans la vie », les salariés se sont mis en grève à l’appel de leurs syndicats CGT et FO. Une semaine de grève dans un froid glacial, où pâtissières et pâtissiers ont retroussé leurs manches pour sortir du pétrin et demander leur part du gâteau.                            

« Cela fait des années que la direction nous lanterne sur les salaires, c’est la raison de notre grève ! » clame haut et fort Sandrine Junique, responsable de la CGT. Ajoutons-y les manques de respect, l’utilisation abusive des CDD et des travailleurs intérimaires jamais embauchés et vous aurez les ingrédients d’une crème renversée sur l’autel de la rentabilité.

Le groupe Pasquier réalise 700 M d’€ de chiffre d’affaire annuel et dans le porte-monnaie des salariés qui travaillent en 3/8, on ne retrouve que des miettes...

Alors au Pain au lait « touche de fruits », il faut y rajouter désormais le succès d’une grève, synonyme de coup de barre porté au patronat. Et ce n’est pas une barre chocolatée.

Les grévistes ont obtenu une prime d’un montant de 20 000 € soit entre 150 € et 200 € par personne, la prime d’ancienneté mise à jour par la Convention collective de l’agroalimentaire, une augmentation de 50 € par mois sur les salaires dès le mois de décembre et le paiement pour moitié des jours de grève.

Portes Citoyenne a apporté tout son soutien aux salariés et se félicite de leur victoire pour arracher leur part du gâteau !