vendredi 28 octobre 2016

Geneviève Girard pratique sans modération la rumeur
 et la calomnie

L’histoire commence lors de la campagne des élections municipales en 2014 car soif de pouvoir oblige, il fallait à tout prix regagner le fauteuil perdu en 2008, quitte à employer les pires moyens pour y arriver. La meilleure arme pour atteindre le but convoité est de faire peur aux citoyens, de colporter de fausses informations, de les faire circuler et enfler comme l’eau d’un torrent lorsque fondent les glaces. L’essentiel étant d’atteindre des milliers d’oreilles et de bouches aux langues bien pendues qui s’agitent, infatigables et finissent par laisser sur leur chemin une traînée de poudre provoquant le trouble, le doute. Une fois le poison acide répandu, difficile d’éteindre l’incendie provoqué par le dénigrement ou de le maîtriser. Les traces sont là, laides, indélébiles. Elles sont parvenues à assécher certains cœurs et à convaincre les esprits de ceux qui les ont écoutées. Le résultat, on le connaît, la victoire est  là. 95 petites voix d’avance mais ça lui suffit, son stratagème a marché, elle a réussi à prendre de vitesse la réflexion et l’intelligence pour s’assurer l’assentiment tacite d’une partie de l’opinion ébranlée. Tous les arguments fallacieux ont été distillés, dans les réunions, sur les tracts et par téléphone, de nombreux coups de téléphone donnés par ses ouailles aux citoyens portois afin de dénigrer la municipalité conduite par Pierre Trapier, ses réalisations, ses projets, avec en toile de fond le venin du racisme, du rejet de l’autre, de la peur : « la commune est en faillite,  gestion calamiteuse – des contacts ont été pris par Pierre Trapier avec d’autres villes communistes pour faire venir des cas sociaux et des étrangers dans les logements sociaux de la ville – des scooters ont été achetés aux délinquants – rien n’a été fait pour votre sécurité, tout pour le social, l’assistanat – un centre pour toxicomanes et/ou pour les prostituées va remplacer l’ancienne cantine SNCF…. Et blablabla… ». Ou comment faire battre les gens les uns contre les autres dans un contexte politique difficile où les espoirs de changement ont fondu comme neige au soleil.
Une fois élue, on aurait souhaité que Geneviève Girard soit rassasiée mais non, la rumeur et la calomnie continuent de manière insidieuse. Il faut bien entretenir la haine…. Et pour cela, la voilà qui se transforme en moraliste, elle parle de tolérance, de respect, de bienveillance, d’humanisme, de pardon… Mais le naturel revient chaque fois au galop, elle en remet une couche sur son ennemi public n°1 dans le dernier Portes Infos en l’accusant d’inconscience, de ne pas respecter la démocratie et …. D’avoir transformé la sociologie portoise au point qu’un grand nombre ne se reconnaîtrait plus dans leur commune.
Voilà où mène la haine, à des propos injurieux et méprisants. Nous sommes bien loin du respect que Mme Girard appelle de ses vœux. Charité bien ordonnée ne commence t-elle pas par soi-même ? Pourquoi tant de hargne ?

Face à ce climat délétère assorti d’une panoplie ultra sécuritaire bien dans le vent, nous ne nous résoudrons jamais à la bêtise, à la médiocrité, à la bassesse. Notre priorité sera toujours l’humain, la solidarité, la fraternité, l’écoute et le partage. Sans cela, notre commune revêtira un bien sombre visage que ni les paillettes, ni le vernis ne viendront éclaircir. Le visage dune bien triste période de l’histoire pour laquelle notre commune a déjà payé un lourd tribut.

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