et la calomnie
L’histoire commence
lors de la campagne des élections municipales en 2014 car soif de pouvoir
oblige, il fallait à tout prix regagner le fauteuil perdu en 2008, quitte à
employer les pires moyens pour y arriver. La meilleure arme pour atteindre le
but convoité est de faire peur aux citoyens, de colporter de fausses
informations, de les faire circuler et enfler comme l’eau d’un torrent lorsque
fondent les glaces. L’essentiel étant d’atteindre des milliers d’oreilles et de
bouches aux langues bien pendues qui s’agitent, infatigables et finissent par
laisser sur leur chemin une traînée de poudre provoquant le trouble, le doute.
Une fois le poison acide répandu, difficile d’éteindre l’incendie provoqué par
le dénigrement ou de le maîtriser. Les traces sont là, laides, indélébiles.
Elles sont parvenues à assécher certains cœurs et à convaincre les esprits de
ceux qui les ont écoutées. Le résultat, on le connaît, la victoire est là. 95 petites voix d’avance mais ça lui
suffit, son stratagème a marché, elle a réussi à prendre de vitesse la
réflexion et l’intelligence pour s’assurer l’assentiment tacite d’une partie de
l’opinion ébranlée. Tous les arguments fallacieux ont été distillés, dans les
réunions, sur les tracts et par téléphone, de nombreux coups de téléphone
donnés par ses ouailles aux citoyens portois afin de dénigrer la
municipalité conduite par Pierre Trapier, ses réalisations, ses projets, avec
en toile de fond le venin du racisme, du rejet de l’autre, de la peur :
« la commune est en faillite, gestion calamiteuse – des contacts ont été
pris par Pierre Trapier avec d’autres villes communistes pour faire venir des
cas sociaux et des étrangers dans les logements sociaux de la ville – des
scooters ont été achetés aux délinquants – rien n’a été fait pour votre
sécurité, tout pour le social, l’assistanat – un centre pour toxicomanes et/ou
pour les prostituées va remplacer l’ancienne cantine SNCF…. Et
blablabla… ». Ou comment faire battre les gens les uns contre les
autres dans un contexte politique difficile où les espoirs de changement ont
fondu comme neige au soleil.
Une fois élue, on
aurait souhaité que Geneviève Girard soit rassasiée mais non, la rumeur et la
calomnie continuent de manière insidieuse. Il faut bien entretenir la haine….
Et pour cela, la voilà qui se transforme en moraliste, elle parle de tolérance,
de respect, de bienveillance, d’humanisme, de pardon… Mais le naturel revient
chaque fois au galop, elle en remet une couche sur son ennemi public n°1 dans
le dernier Portes Infos en l’accusant d’inconscience, de ne pas respecter la
démocratie et …. D’avoir transformé la sociologie portoise au point qu’un grand
nombre ne se reconnaîtrait plus dans leur commune.
Voilà où mène la
haine, à des propos injurieux et méprisants. Nous sommes bien loin du respect
que Mme Girard appelle de ses vœux. Charité bien ordonnée ne commence t-elle
pas par soi-même ? Pourquoi tant de hargne ?
Face à ce climat
délétère assorti d’une panoplie ultra sécuritaire bien dans le vent, nous ne
nous résoudrons jamais à la bêtise, à la médiocrité, à la bassesse. Notre
priorité sera toujours l’humain, la solidarité, la fraternité, l’écoute et le
partage. Sans cela, notre commune revêtira un bien sombre visage que ni les
paillettes, ni le vernis ne viendront éclaircir. Le visage dune bien triste
période de l’histoire pour laquelle notre commune a déjà payé un lourd tribut.
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